Une fête est l’occasion de se souvenir à l’aide de symboles de l’essentiel. L’essentiel est la vérité et la vérité ne dépend pas des formes. La confusion apparaît lorsque la quête devient celle d’une forme particulière, que le symbole devient un décor et que l’essentiel est oublié.
L'occasion des fêtes ne doit pas laisser oubliée la continuité de la Vérité, qui se révèle à travers les symboles. La Vérité est Une et Infinie. Les chants, les sons et les danses sont les formes que prennent le partage, souvenir de l’Unité essentielle, la lumière et l’amour en sont les effets. Le partage est la réponse à la croyance en la séparation et la forme du souvenir que l’esprit n’est pas séparé.
« Le signe de Noël est une étoile, une lumière dans les ténèbres. Ne la vois pas à l’extérieur de toi mais brillant dans le Ciel au-dedans, et accepte-la comme le signe que le temps du Christ est venu. Il vient en n’exigeant rien. Nul sacrifice d’aucune sorte n’est exigé par Lui de qui que ce soit. En Sa Présence toute l’idée de sacrifice perd toute signification. Car Il est l’Hôte de Dieu. Et tu as seulement besoin de l’inviter, Celui Qui est déjà là, en reconnaissant que Son Hôte est Un et qu’aucune pensée étrangère à Son Unité ne peut demeurer là avec Lui. Pour L’accueillir, l’amour doit être total, car la Présence de la Sainteté crée la sainteté qui l’entoure. Nulle peur ne peut toucher l’Hôte qui berce Dieu au temps du Christ, car l’Hôte est aussi saint que l’Innocence parfaite qu’Il protège, et dont le pouvoir Le protège. »
Extrait UCEM, chap.15, XI,2.
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